Une petite histoire comme ça...

Je n'avais rien à faire, alors jai décider d'écrire une petite histoire. Si jamais vous l'aimé ou vous voulez une suite, dites-le moi, j'essairai de la continuer.



C'était une belle nuit étoilée. Autour de la jeune fille aux cheveux roux, les balançoires dansaient au rythme du vent et les feuilles des arbres répondaient en chantant aux cris du vent. C'était une vraie nuit d'automne. L'air frais du vent venait le songer près des joue de la jeune fille, se qui chassait ces larmes au loin. Levant les yeux au ciel, la petite se rendit compte qu'elle avait tout perdu. Même si la plupart des enfants, en cette nuit de la veille de l'halloween était occupé à terminé leur costume, à acheter les derniers bonbons et à terminer de décorer leur somptueuses maison, la jeune orpheline, elle, pleurait. Comme à chaque année depuis la disparition de ces parents, Mégane avait espérer rencontrer quelqu'un qui lui montrerais le bonheur. Âgée de 5 ans à peine, la petite était laissée à elle-même, dans la rue. Les passant riaient d'elle ou l'ignorait complètement. Elle avait une seule amie. Une vraie. Elle portait le nom... Non, son nom de doit pas être prononcé. Son nom restera un secret jusqu'à la fin de ce récit puisque dans cette petite ville isolé, aider les malheureux, est rendu un crime.

La petite Mégane marchait donc vers l'endroit ou se cachait son amie. Son amie n’était pas dans la misère, loin de là. Elle avait un frère et une sœur qui savait très bien s'occuper de leur sœur. Elle aussi, elle avait perdu ces parents. Contrairement à Mégane, ce n'est pas la mort qui a séparé son amie de ces parents, quelque chose d'encore plus grave que la mort. Mégane a donc jurer ne jamais révéler le nom de son amie. Au début, elle refusait même de le savoir.

Mégane portait l'ancien linge de son amie et de sa sœur. Bien sur, il était légèrement trop grand au départ, mais l'amie de Mégane lui avait appris à coudre et à se débrouiller elle-même. Oui, sans son amie, Mégane serait peut-être morte aujourd'hui. Pourtant, cette jolie demoiselle aux cheveux couleur de feu nous côtois tous les jours.

Même si avec le temps, Mégane avait renoncé à faire sa place dans le monde, elle aimait sortir, prendre l'air. De toute façon, elle vivait... Non, sa cachette doit rester un secret aussi. Mégane alla s'étendre sur son lit de paille qu'elle trouvait très douillet. Quand on est habitué au sol depuis sa tendre enfance, la paille devient alors un très grand luxe. Sa couverture toute trouée qu'elle possède depuis sa naissance la recouvre partiellement. C'est le sang glacé, grelottante, que Mégane s'endors.

En rêves, Mégane imagine tout ce qu'elle pourrait avoir et ce qu'elle voudrait. Pourtant, à chaque matin, elle se dit qu'elle ne veut rien de tout ça. Elle n'est peut-être pas la jeune fille la plus heureuse au monde, mais au moins, elle n'est ni malade, ni mourante et elle est encore apte à se débrouiller toute seule.

Aujourd'hui âgé de 15 ans, Mégane est sur le point de vivre le plus grand deuil de sa vie. Elle ne le sait pas encore mais sa douce amie sa s'éteindre et rien ni personne ne pourra l'empêcher. Mégane c'est trouver un job dans la boutique de linge de la sœur de son amie et aujourd'hui, elle a un but : Devenir l'une des plus grandes designers de mode du monde entier. Bon, son rêve est un peu poussé à l'extrême mais Mégane adore coudre et s'amuser à inventer de nouveaux morceaux de linge. Justement, après une dure journée de travail, la jeune orpheline court vers la demeure de son amie dans l'intention de lui montrer ces dernières créations. Mégane cogne à la porte. Aucune réponse.

La jeune fille s'assoie dans les marche et attend, ne sachant ni quoi faire ni ou aller et ne sachant certainement pas que toute son histoire était sur le point de changer. Sa vie était sur le point de changer... Morte de fatigue, elle s’étendit sur la première marche et s'endormis lentement. À son réveil, quelques minutes, ou quelques heures plus tard, elle se trouvait à l'intérieur. Chez son amie. Elle reconnaissait le salon. Elle se leva, se dirigea vers la chambre de son amie, mais avant même qu'elle puisse ouvrir la porte, une main se posa sur son épaule. Mégane se retourna et trouva derrière elle la sœur de son amie, larmes roulant le long des joues.

La sœur de son amie la serra contre elle et lui en sanglotant :

- Je... Je... Je suis dé... désolé... Meg...

Mégane repoussa doucement la sœur de son amie. Entra de force dans la chambre de son amie. Le lit était fait. Elle n'y était pas. Où était-elle. Mégane, prise de panique se mit à frapper sur la sœur de son amie. Celle-ci attrapa ces poing, la regarda dans les yeux et lui dit, toujours ne sanglotant :

- Elle... Elle é... était condamnée... tu...tu comprends... elle... elle voulait... pas... pas te le dire... elle... elle ne voulait pas... pas te faire de... de peine...

Et la sœur de son amie se mit à pleurer de plus belle. Mégane, elle, ces yeux se remplirent de larmes. Elle venait de comprendre.

- Ils...ils l'ont... attrapés... Ils... ils vous ont vu... tous les deux... Ils savent... ou... ou tu te cache... tu dois... partir...

Mégane savait que se jour viendrais. Elle savait ce qui était arrivé à son amie. Il était arrivé la même chose aux parents de son amie. Tu n'as pas le droit d'Aider les malheureux et les gens dans la misère. Si tu le fait et que tu te fais prendre, les conséquences peuvent être très graves. Mégane laissa couler quelques larmes le long de ces joues, pris son courage a deux et demanda :

- Qu'est-ce... qui lui ont fait? Cette fois-ci, qu'ont-ils fait pour... pour punir les gens comme vous...

La sœur de son amie la fixa puis répondit aussitôt :

- Ils l'ont... fait souffrir.

Mégane voulait en savoir plus, mais elle savait que le moment était très mal choisi, de toute façon, ces larmes ne cessaient plus de couler. Elles coulaient et coulaient et coulaient sans arrêter. La sœur de son amie la serra près de son cœur et lui dit :

- Ils l'ont battue, violentée, agresser, violer et assassinée. Devant nos yeux... Ils nous ont amené tous les trois. Moi ma sœur et mon frère. Ils nous ont dis que la prochaine fois, la sentence serait pire si on se faisait prendre à nouveau. Mégane, on ne peut plus t'aider. On ne peut plus risquer nos vies ainsi. Tu dois partir et ne jamais revenir, tu comprends ça?

Mégane hocha la tête. Les parents de son amie avaient été assassinés devant les yeux de leur enfant. Ceux de Mégane avaient péris dans un accident d'auto. L'orpheline n'avait pas assisté à cette scène.

- Je... je comprends... je... je ne... vous causerez... plus... d'ennuie...

Mégane se détacha des bras de la sœur de son amie, se retira du salon, sortis de la maison, descendis l'escalier. Regarda à droite, puis à gauche. Elle ne savait pas par où aller mais elle savait qu'elle devait partir. Elle se rendit donc sur le trottoir, se dirigea vers le parc, le traversa plusieurs rue, arriva enfin devant la cachette et y entra. Elle devait faire vite, les autorités finiraient par trouver cet endroit.

Mégane pris un sac-à-dos que lui avait donné son amie ainsi qu'un sac remplis de nourriture. Elle mit la nourriture dans le sac a dos, pris un chandail et une parie de pantalon qu'elle déposa également dans le sac à dos. Plia sa couverture fétiche, la mis dans le sac-à-dos. Elle fit une dernière inspection des lieux, sortie de sa cachette et se mit à courir sans savoir où elle allait.

À ce moment, Mégane savait une chose : rien ne serait plus jamais comme avant.



Voila! c'est tout pour le moment! Si vous voulez une suite, bah demandez-le moi